Visite du Secrétaire d’Etat

Samedi 23 février six JADE (Jeune Ambassadeur des Droits auprès des Enfants) : Kessy, Hachmiia, Anthony, Ornella, Coralie et Chloé ont eu l’honneur d’échanger avec Mr Gabriel ATTAL en visite dans l’île. Un grand coup de chapeau à nos jeunes en service civique qui ont dû prendre la parole auprès d’un public peu commun dans leur parcours et qui ont présenté une animation : présence du recteur,  de la députée  de la 3ème circonscription de la direction de la DJSCS, du Défenseur des droits (c’est notre partenaire) de la PJJ, la directrice du Centre Jacques Tessier , les représentants du Conseil Général…

pause photo

 

Le Printemps des poètes

Le case de Chemin Ceinture à Saint-Benoît  organise une exposition sur les Oiseaux dans le cadre du Printemps des Poètes à partir du 20 mars. Avec Annick l’animatrice du case, nous accompagnons des jeunes en service civique pour préparer cette manifestation. Les élèves de l’école Chemin Ceinture participeront à des ateliers sur le temps périscolaires.
Isabelle

Des lires et d’écrire – Janvier 2019

mercredi 31 janvier 2019 – Saint Leu sous les filaos en face de la poste

Avec Cécile, Zoubayda, Hachmiia, Valérie, Sylvie, Liliane, Fred, Adeline, Pascale, Isabelle

Pensée à Evelyne, Henriette…. qui n’ont pu être présentes

17h3– Nous sommes arrivées à St Leu. Ashmina c’est la 1ère fois qu’elle vient ici…et ce soir ça a comme un goût de renouveau Des Lire et d’écrits. J’accompagne trois jeunes filles qui vont nous livrer leur coup d’coeur livresque.

Il fait très chaud. Nous attendons les autres. Evelyne ne pourra pas venir, panne de voiture à la dernière minute. Pascale aura du retard..mais nous sommes près de la mer, près du petit port de pêche. Les bateaux se laissent bercer par le doux mouvement des flots, des pêcheurs attendent avec leurs cannes à pêche, deux dames se promènent avec leur petit chien, une jeune femme passe avec la poussette d’un bébé,…

18h00 Le soleil est encore très haut…

Tiens.. j’ai reconnu Fred il est à moto, voilà Valérie, Adeline…les autres…

Meilleurs vœux 2019 !

Et vient le temps des lire

  • Isabelle « Une année lumière » chroniques-de Nathacha APPANAH -Édition Gallimard

  • Valérie « Escale céleste» de Anne Christine GIMENEZ -Edition L’Harmattan »

  • Zoubayda -«Petites pensées heureuses du monde entier » de Helen Exley -Édition London

  • Pascale– lecture d’un article sur la dépression extrait de l’émission Grand bien vous fasse

    « Trop intelligent pour être heureux » de Jeanne CHIAUD FACCHIN -Édition Odile JACOB

  • Fred « Les leçons du pouvoir » de François HOLLANDE

    «Mon histoire » de Rosa PARKS  édition Libertalia

  • Ashmia « Le Gone du CHAABA » DE Aziz BEGAG -Édition du Seuil

  • Liliane « Une année lumière » chroniques-de Nathacha APPANAH -Édition Gallimard

    « Audacieuses -50 femmes pionnières» de Yannick RESCH -Edition Eyroles –

    « Le grand saut » de Expédit LAOPE CERNEAUX

  • Sylvie « Les chroniques du Léopard » de Appollo et Tehem – Edition Dargaud

    « L’arbre aux trésors » de Henri GOUGAUD -Edition du Seuil

    « Max sanm Ti Moris » d’après Wilhem BUSCH -Édition Ankrake/Océan Indien

  • Cécile « Le soleil des Scortat » de Laurent GAUDE -Edition J’ai lu

Et nous terminons sur un poème de Adeline qui nous le lit à haute voix

  • Adeline « Mafate »

Et merci à Evelyne qui a bien voulu partager son dernier «  coup d’dégoût » par mail..

  • Evelyne « Scarboroug » de Christophe Honoré ed de l’Olivier

 

(livre emprunté à la médiathèque.)

« Je suis entrée dans ce livre comme dans d’autres avec curiosité car je l’ai pris au hasard. Au début , je ne comprenais pas très bien la relation fusionnelle entre les deux frères héros du roman, puis j’ai compris qu’elle était incestueuse avec un désir d’enfant quasi obsessionnelle . S’est rajoutée une histoire de suicide plutôt glauque où les garçons ont sauvé la suicidée qui a recommencé immédiatement et s’est tuée pour de bon. Là, il a fallu consoler la maman. Et le bébé est arrivé. Et là on arrive dans de la pédopornographie. j’ai

continué à survoler les pages avec un dégoût de plus en plus intense !

En me posant la question mais à quoi ça sert, d’écrire cela ? Pourquoi un teldéballage ? j’allais dire de saletés . Eh non, l’écriture est belle, elle donne une sensation d’amour entre les différents protagonistes. Je ne sais si vous avez vu le film « les nuits fauves » j’ai ressenti les mêmes sensations en survolant cette histoire : une grande gêne, avec une certaine curiosité « mais jusqu’où vont-ils aller ? » pourquoi tant d’obscénités ?

En fermant le livre, j’ai vu le titre Scarborough et j’ai lu scabreux ! je n’ai même pas

envie de savoir si cette ville existe vraiment. 

Franchement je ne vous le recommande pas ! »

Et vient le temps du blablabla autour du « pique nique » partagé

Petites tartines à la tapenade aux olives- rillettes de poissons-pistash boui-camembert-croupous-petites tomates cerises-bonbon miyé, mangues…petites bières, sirop de gingembre, jus de goyavier ..

Fin du Des lire : 21h00

Isabelle

Prochain rendez-vous en février à st Denis

Les CEMEA, une association d’éducation populaire

PRESENTATION

Les CEMÉA, mouvement d’éducation nouvelle, association d’éducation populaire, et organisme de formation professionnelle sont porteurs depuis plus de 70 ans, d’une large expérience sociale et collective. Les Ceméa sont reconnus d’utilité publique et sont agréés par les grands ministères de l’Education nationale, de la Jeunesse et des Sports, de l’Action sociale, de la Culture et de la Communication, des Affaires étrangères…

Les Ceméa, Association nationale se sont donnés cinq grands objectifs :

Construire l’éducation nouvelle au 21e siècle.

Faire vivre l’éducation formelle et non formelle, développer les pratiques culturelles et la lutte contre toutes les exclusions.

Agir dans les institutions pour la jeunesse et l’éducation populaire.

S’engager pour le développement durable et pour les solidarités nouvelles, entre les générations, en Europe et dans le monde.

Consolider les centres de vacances et de loisirs et se mobiliser pour le droit aux vacances pour tous.

 

Les Ceméa sont organisés en réseau national, européen et international. Leur projet s’appuie sur les valeurs de l’éducation nouvelle et la mise en action des individus, par les méthodes d’éducation active. Ils sont un mouvement de personnes engagées dans des pratiques, pour transformer les milieux et les institutions. Organisme de formation ils offrent une diversité de stages ancrés dans les réalités quotidiennes de l’éducation, de l’animation, de la santé et de l’action sociale, et proposent des espaces de recherche et de rencontres articulés avec l’organisation de manifestations publiques.

L’Education s’adresse à tous

Elle repose sur trois pôles la famille, l’école, les structures socio-éducatives.

L’action de chacun concourt à la construction et à l’épanouissement de la personne.

Cela nécessite une continuité, une complémentarité et une cohérence qui respectent

les missions spécifiques de chacun de ces trois pôles, d’où la nécessité pour les collectivités territoriales de se doter d’un projet éducatif. Pour les Ceméa, le projet doit être global et implique l’ensemble des acteurs. Le projet, qui résulte d’une analyse des besoins locaux et d’une concertation de l’ensemble des acteurs, doit permettre de conjuguer la complexité des réalités contemporaines : diversité et multiplicité des dispositifs, segmentation et sectorisation des questions éducatives, nouvelles organisations des territoires, spécificité des publics.

Les Ceméa s’attachent à agir au contact étroit de la réalité du terrain, des publics et

des organisations dans leur diversité. Cela conduit à proposer des démarches qui associent des acteurs au plus près des nouveaux territoires et dispositifs. Les Ceméa se proposent de les y aider.

Dans et autour de l’école

Les Ceméa, association laïque d’éducation populaire, mouvement d’éducation nouvelle, complémentaire de l’école publique, inscrivent leur action dans le cadre du service public d’éducation. Ils placent ainsi l’école au coeur de leur action, dans une approche globale des questions éducatives articulant les temps scolaires et non scolaires. Le rôle de l’école s’inscrit dans un processus de formation tout au long de la vie, dans une perspective d’éducation

permanente. D’abord, lieu fondamental d’apprentissage et d’acquisition des connaissances, elle est aussi un lieu d’intégration et d’éducation à la citoyenneté. (Les CEMEA Dans et autour de l’école)

Projet des ateliers relais

PROJET DES ATELIERS RELAIS

Depuis 2011 sur l’atelier relais de Saint-Paul,  l’implication des CEMEA se maintient autour de deux axes :

  • L‘axe éducatif

  • L‘axe d’accompagnement

Objectifs :

  • Développer l’estime de soi

  • Responsabiliser le jeune dans ses actes

  • Favoriser l’entraide, le travail d’équipe

  • Amener le jeune à s’impliquer dans un projet (participation, engagement, responsabilisation…)

L’axe éducatif :

Le temps de l’accueil : L’animateur assure l’accueil et présente l’organisation de la journée, de la semaine.

La vie collective : gestion et répartition des tâches quotidiennes auprès des jeunes (temps du repas, de la collation), élaboration d’un règlement en concertation avec l’enseignant.

Le départ le soir : un point bilan au quotidien, préparation à quitter l’atelier relais (rangement, nettoyage des lieux).

Les activités

En complément du projet pédagogique de l’atelier, l’animateur a pour mission de mettre en oeuvre des activités autour de thématiques proposées en concertation avec les différentes équipes éducatives de chaque atelier.
Il prend contact avec les différents partenaires et organisent les différentes sorties (transport, horaires…) avec l’enseignant. Pour rester dans la continuité des apprentissages, un temps de valorisation est préparé avec l’implication des élèves et présenté aux membres de l’équipe éducative des collèges concernés, auprès des familles.

L’expression orale

L’animateur sera sensible à la prise de parole de chaque jeune dans son expression individuelle, en collectif (petit groupe, grand groupe).

Les activités autour de la lecture/écriture

Un compte rendu des différentes activités fera l’objet d’articles :

  • Création d’un blog,

  • Prêt de livres auprès de la médiathèque de la ville

  • Présentation de livres

  • Préparation à la lecture à haute voix auprès des classes de l’école de proximité

Les activités manuelles à dominante artistique

Pour stimuler la créativité, découvrir et apprendre des techniques avec la participation d’un artiste. L’animateur fait la démarche de proposer, de prendre contact, d’organiser les rencontres avec les élèves. Il assiste l’intervenant et accompagne dans l’activité sur des projets spécifiques.

Les activités sportives

En concertation avec l’enseignant , une programmation d’activités sportives sera proposée (sport collectif, randonnée, canoë kayak, vtt…) à chaque session

L’axe d’accompagnement

Les activités proposées par l’animateur se feront dans une démarche d’accompagnement du jeune pour l’amener vers une estime de soi, de confiance. Il reste à disposition auprès de l’enseignant dans les moments d’enseignement si nécessaire.

Il participe à l’évaluation individuelle, à l’évaluation du projet.

Une valorisation des différentes actions avec les jeunes sera présentée à la fin de chaque session.

L’accompagnement des familles

L’atelier relais est un dispositif qui nécessite des temps de rencontre entre les familles.
Deux temps de rencontres pour un atelier parent durant chaque session seront organisés autour de réflexion portant sur l’éducation, le projet et parcours de leur enfant.

LE PLANNING DE L’ANIMATEUR

En co-construction avec l’enseignant, l’animateur est mis à disposition à temps plein sur le temps scolaire. Des projets hors temps scolaire peuvent se développer en cohérence avec l’environnement de proximité.

Observations

Ces axes de travail servent de base aux animateurs. Les différents projets sont élaborés en concertation avec l’équipe éducative en début de rentrée. Chaque session fait l’objet d’une réflexion.

Libre et éducation critique aux médias

Les CEMEA de la Réunion se sont résolument lancés dans la diffusion locale des logiciels libres. Cette démarche s’inscrit dans la volonté de démocratiser l’accès aux ressources informatiques et de réduire autant que faire se peut la “fracture numérique” plus importante ici qu’ailleurs sur le territoire national.
Avant d’être une technique, l’informatique est une philosophie, elle est, selon la façon dont nous l’abordons d’abord un choix éthique et politique. Elle est aussi un enjeu démocratique majeur !

Alors que l’informatique qui nous entoure majoritairement a pour seule ambition la création de valeur marchande, l’informatique libre a pour ambition la création de valeurs, au pluriel : valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité.

De liberté parce que les logiciels libres libèrent les utilisateurs : chacun peut librement installer, copier ou distribuer les logiciels. Et même les modifier.

D’égalité parce qu’ils ne créent pas de discrimination économique. Généralement gratuits les logiciels libres sont à la portée de tous et peuvent équiper les ordinateurs des moins fortunés d’entre nous, tout en garantissant une qualité au moins égale à celle de certains de leurs concurrents – et souvent bien meilleure.

De fraternité parce qu’ils sont le fruit de la coopération d’individus, de groupes, d’associations, d’entreprises. Ils réunissent et unissent des développeurs, des ingénieurs, des graphistes, des traducteurs, des testeurs et des utilisateurs de toutes les nations, de toutes confessions, de toutes cultures.

Les technologies de l’information et le communication occupent une place importante dans notre quotidien, à tel point qu’une véritable révolution s’opère sous nos yeux qui vient bouleverser les pratiques des médias traditionnels, nos habitudes et modes de travail, nos propres réseaux sociaux.

Il y aurait là de quoi se réjouir, pour autant, tout n’est pas rose dans cette évolution. Elle est tout d’abord inégalitaire puisqu’une part importante de la population n’y a pas accès pour des raisons matérielles (pas d’ordinateur, pas de connexion internet…) Elle est ensuite pernicieuse, « les jeunes maîtrisent ça très bien ! » entend-on souvent. Certes, ils développent une capacité d’usage, mais nous ne partageons pas tout à fait ce point de vue. De grands groupes marchands se sont évidemment emparés de ces espaces. Ne nous y trompons pas, l’apparente gratuité de ces services n’est qu’une façade, ces grands groupes n’ont pas d’ambitions philanthropiques, ils savent parfaitement s’adapter aux pratiques adolescentes (quand ils ne les créent pas) notamment pour en exploiter les failles dans une logique qui n’a pour ambition que le profit…

Nous pourrions parler des Fournisseurs d’accès Internet (FAI), qui , sous couvert de « nous faciliter la vie » à l’installation, mettent en place sur nos propres machines des portails d’accès passant par leurs propres services et bien évidemment leurs espaces publicitaires personnalisés…

Que dire enfin des éditeurs de logiciels ! un système d’exploitation imposé lors de l’achat d’un ordinateur au mépris des lois (la vente liée n’est-elle pas interdite en France ?) , des familles par milliers trompées par la présence à l’essai d’une suite bureautique qui ne fonctionne plus au bout de 20 jours d’essai et qu’il faudra donc acheter en sus… des logiciels achetés fort cher, qui au bout de quelques temps ne sont plus compatibles avec la nouvelle version et qui ne peuvent être mis à jour !

Association d’Éducation Populaire, mouvement d’Éducation Nouvelle, les CEMEA Réunion, ont fait de cet enjeu de l’informatique libre un axe fort de leur projet associatif.
« L’éducation peut être un formidable moyen d’enrichissement, d’émancipation, de socialisation, de solidarité, de justice, comme peuvent l’être le politique, le travail, la culture. Mais tous peuvent être aussi des moyens de domination, de coercition, d’aliénation, de conditionnement des personnes et des groupes, de moyens de formatage des esprits au service d’un système et d’une minorité de la société. » Extrait de notre projet associatif national

Il est de notre responsabilité d’oeuvrer pour le développement d’une diffusion libre et équitable des TIC…

Kozkafé Culturel

Secteur politiques éducatives et pratiques culturelles

L’expérience “SOTLAMER”

De 2015 à 2017, La Réunion a accueilli la plateforme régionale de la mobilité « non formelle »* européenne et internationale des jeunes réunionnais : « Sotlamer »** !

Dans le cadre du Fonds d’Expérimentation pour la Jeunesse, les CEMÉA de La Réunion et leurs
partenaires (France Volontaires, l’Association Régionale des Missions Locales et les 4 missions Locales
de La Réunion, le Centre Régional d’Information Jeunesse et le Forum Réunionnais de la Jeunesse
) ont
répondu à l’appel à projets lancé par le Ministère de la Ville, de la Jeunesse et des Sports.

Les objectifs de la plateforme « Sotlamer » :
→ Améliorer la visibilité et l’accessibilité des dispositifs de mobilité non-formelle : Service Volontaire
Européen, Volontariat de Solidarité Internationale, Service Civique à l’international…
→ Former les acteurs de la jeunesse au montage de projets, notamment dans le cadre du Programme
Erasmus +
→ Accompagner les jeunes vers et dans leur parcours de mobilité
→ Soutenir et accompagner les jeunes et les porteurs de projets
Pour un service de proximité et un accès à l’information sur toute l’île :
4 animateurs relais auront sillonnés les 4 coins de l’île afin d’aller à la rencontre des associations et des
jeunes réunionnais (réunions d’information collectives, accompagnement individualisé, etc.)
Une attention particulière a également portée sur les témoignages des jeunes ayant vécu une
expérience de mobilité, afin de donner l’envie à d’autres jeunes de « sauter la mer » !

Quelques images du projet “Sotlamer”

*L’expression « sot la mer » (= « sauter la mer ») en créole réunionnais signifie quitter son île, La Réunion, pour vivre une expérience d’expatriation de courte ou de longue durée. L’expression traduit également la difficulté du départ, de quitter ses proches et de partir seul(e) pour un pays inconnu (la métropole ou autre).
**En parallèle des dispositifs de mobilité dite « formelle » (formation/emploi), la mobilité « non formelle » permet aux jeunes de s’engager en tant que volontaire à l’échelle européenne et internationale, d’ acquérir des compétences sociales, de s’ouvrir au monde et de mieux s’insérer socialement et professionnellement à leur retour.

Les échos du festival du film d’éducation à Saint Pierre

Pour la dernière étape de la saison 2018, les échos du festival du film d’éducation seront à la Cité des métiers à Saint Pierre les jeudi 15 et vendredi 1- novembre 2018.

Vous pouvez consulter le programme ici.

Attention, il faut s’inscrire sur le site de la Cité des métiers dans la rubrique agenda.